say you don't want it
LES GRANDES LIGNES, PRENEZ VOS REPRES

a écrit:

“ I can't tell you what I learned from school but ”
I danced my ass off and had this one girl completely naked.

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Il y a des personnes pour qui la vie est toute tracé et qui leur promet que de belles choses. Il y en a d'autres qui n'auront que souffrances, et il y a les derniers qui eux passent leur temps hors des sentiers qui leur sont destinés parce qu'ils ont peur de décevoir. C'est de cette dernière catégorie que je vis vous raconter l'histoire. Mon personnage principale est une jolie petite rousse de 21 ans, elle a le prénom d'un ange et un sourire craquant. Gabrielle, aux yeux émeraudes a le dont d'en faire rire plus d'un, d'en émouvoir beaucoup, et d'en dérouté tellement. Son père dit d'elle qu'elle ne tient pas de lui, qu'elle est bien trop désinvolte et « niaise » pour tenir de lui, le grand chef d'entreprise qu'il est. Génie des maths, il est fière de son fiston qui a été reçut au MIT. Sa mère dit d'elle qu'elle n'est peu être pas une lumière mais que son sourire à le dont de nous illuminer le cœur. Sa grand mère lui conseille de faire un bon mariage, sinon elle ne s'en sortira pas dans la vie. Ses amies la trouve « cool » mais dès fois vraiment conne. Son petit ami lui l'aime comme elle est pour ce qu'elle est. C'est le seul à trouver ça mignon les conneries qu'elle dit sans se rendre compte que s'en est. Il la trouve belle, épatante et brillante. Et il est certain qu'il suffit de la bonne volonté pour réussir, et ça Gabby est pleine de bonne volonté. Vous l'avez compris ce n'est pas l'histoire d'une jeune femme étonnamment brillante pour son âge qui se destina faire une grande carrière, une fille que tout le monde aime pour son intelligence. Non c'est l'histoire d'une jeune femme ordinaire un peu simplette et souvent idiote mais c'est ça qui fait son charme.

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a écrit:

“ So listen to the sound of my voice ”
And Dear raggamuffin shall I knock for the dawn.

Gabrielle Stinson à onze ans à apprit brusquement qu'elle allait devoir quitté sa grande maison blanche aux volet bleu pour un appartement à New York. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi. « Je veux rester là ! » avait-elle dit alors qu'elle était attaché au l'arbre dans le jardin avec son écharpe préféré. Elle avait demandé à son grand frère de lui faire le plus gros nœud qu'il était capable de faire. Si bien que le nœud était inde-faisable. « Mais qu'est ce qui t'ai encore passé par la tête Gabby ? Franchement t'attacher à un arbre on t'as expliquer qu'on doit quitter la ville à cause du tsunami ! » La tête boudeuse elle tire sa langue rose par un bonbon qu'elle avait avant sucé allégrement. « M'en fou du tsumami tfaçon' ! » Une tape sur la tête son grand frère dit entre les dents. « Tsunami gogole ! » Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. « Trevor !! Parles pas de ta sœur comme ça ! Et voilà t'as réussis à la faire pleurer t'es content. Bon Grayson prend les ciseaux faut la défaire de cet arbre on doit partir maintenant ! Y aura bien assez de monde sur les routes ! » Des moments comme ça elle allait en vivre beaucoup et celui-ci ne fut certainement pas le pire. Croyez le ou non mais quand on vous regarde comme si vous étiez une grosse débile irrécupérable y a des petits morceaux de votre cœur qui se font la malle. Et ce jour là un de plus, et pas encore le dernier se détacha de son petit cœur d'enfant.

Et pourtant elle faisait preuve d'une grande volonté mais manquait cruellement de confiance en elle, on lui a tellement dit qu'elle était stupide et bête comme ses pieds qu'elle a finit par le croire dure comme fer. Ce que je vais vous raconter là va sans aucun doute vous faire sourire et même rire. Mais n'oubliez pas qu'en faisant ça vous ne faite que réduire petit à petit le cœur de la jolie rousse en poussière. Elle était dans un lycée très huppé de New York à Manhattan. Et souvent, régulièrement même les élèves devaient faire des exposées en solo dans des matière différente. L'exposé dont je vais vous parlé est un durant un cours d'histoire. Son sujet était sur l'indépendance américaine, un sujet bateau et connu de tous non ? Oui bien entendu. « Mademoiselle Stinson votre exposé s'il vous plait. » Ok jusqu'ici pas de quoi rire hein ? La jolie rousse se sentait prête elle avait travaillé longtemps pour cet exposé. Mais des idiots lui avait piqué ses notes et réduit en miette ce qu'elle venait de se rendre compte en ouvrant son classeur pour prendre ses feuilles. Elle en perdit immédiatement tout ses moyens, et même si elle connaissait le sujet du bout des doigts elle ne pu que dire des choses succinctes et navrantes. « Indépendance américaine, euh... date du 4 juillet 1776... C'est là qu'on fait un feu d'artifice chaque année...Euh c'est Thomas Jefferson qui élabore la déclaration d'inpendance.... » Des rires dans la classe, Gabrielle abandonne, Gabrielle cours vers la sortie, les larmes aux yeux elle s'enfuit loin de ce moment des plus honteux.

Maintenant elle a 21 ans, c'est une grande fille. Et contre toute attente elle a été accepté a l'université de Deviston. Elle fait des études de droits mais ça ne lui convient pas. Ça elle le dit à personne tout simplement parce que lorsqu'elle a annoncé à ses parents qu'elle comptait devenir avocate leurs yeux ont brillé de mille feu, ils étaient tellement fière de leur fille. Maintenant elle ne peu pas reculé, elle a tellement vu de l'incompréhension dans les yeux de son père quand dans les siens se trouvait le vide, le néant. Mais dans cette infortune la belle trouva l'amour. Un jeune homme qui contrairement aux autres ne voulait pas d'elle simplement pour pouvoir lui écarter les cuisses. D'ailleurs au début elle n'y croyait pas. Elle se trouvait à la bibliothèque de la faculté entre les rayons du croit pénal et du droit des entreprises. La mine perdu et déconfite à chaque mot compliqué qu'elle rencontrait dans un bouquin qu'elle avait tout juste ouvert assise à même le sol une boucle rousse entrecoupant sa vision le reste de ses cheveux attachés en un chignon. Lui la regardait depuis un petit moment alors qu'il cherchait un bouquin de droit des entreprises. Il lâcha simplement. « Prise de tête le droit Pénal hein ! » dit-il en connaissance de cause. Elle leva les yeux comprenant tout juste que c'était à elle qu'on s'adressait. « Euh ouais c'est ça. » dit-elle plongeant ses yeux verts dans celui du jeune homme. « T'es en première année ? Je t'avais jamais vu encore. » ajouta-t-il se rapprochant d'elle pour s'assoir à ses cotés. « Ouais première et dernière certainement. » Il arqua un sourcil. « Pourquoi tu dis ça ? » Elle sourit. « Parce que j'ai de l'eau dans le cerveau, je suis pas un lampadaire comme on dit ! » Il rit, elle comprend qu'elle a dit une connerie, elle se ferme comme une coquille. « Excuse moi je voulais pas... Enfin je trouve sa mignon, et puis pourquoi pas un lampadaire au lieu d'une lumière ? » dit-il gentiment. Il était gentil elle le trouvait gentil. « Tu pourras t'en servir dans ta plaidoirie un jour ! » ajouta-t-il tranquillement. « Oh ouais j'aimerais bien être avocate pour une grande marque de prêt à porter. » dit-elle joyeusement. Il sourit tranquillement et elle ajouta. « Plaidoirie c'est pas un mot compliqué pour parlé de plaids ? » dit-elle niaisement. Et lui comme un con il trouva ça mignon. Ça fait quelque semaines qu'ils sont ensemble et pour le moment il ne se lasse pas de la personnalité quelque peu simpliste de sa petite amie bien au contraire il croit en elle. Et c'est certainement ce qui lui plait le plus chez lui sans parlé du fait qu'il soit diablement sexy.