“ the other side ”
BIG LINES | Ecrivez ici les grandes lignes, les points importants de l'histoire ou tout simplement du personnage de votre scénario.

“ citation ”
prénom nom de votre perso.
OVER MY HEAD | « Gardner, Fitzgerald, dans mon bureau. » « Oui bosse. » Calmement, je me dirige vers son bureau accompagné de mon collègue. « Arrête de lui lécher les bottes Fitzgerald. » « Et toi, apprends à être plus polis Gardner. » Une fois dans le bureau de notre bosse, nous prîmes place en face de lieu. « J’aurai besoin d’un rapport complet sur la remise en liberté de James Newton qui se passe dans une semaine ! Celui qui me rendra un rapport net et détaillé, aura droit à une promotion et sera envoyé sur place. Je veux ça dans trois jours. Alors ne trainez pas. Vous pouvez disposer. » « D’accord bosse. » Après mettre levée, je sors du bureau pour aller chercher à boire dans la pièce d’à côté, mais rapidement, je sens une main m’attraper le poignet et une autre me plaquer contre le mur. Personne ne pouvait nous voir. Prise de panique, je regarde mon interlocuteur droit dans les yeux. « Tu ne m’auras pas Fitzgerald, pas une seconde fois. Je dois avoir cette promotion. Je vais tout faire pour l’avoir, crois-moi bien. Ce n’est pas ta silhouette gracieuse, ni ta peau douce, ni tes cheveux soyeux, ni ton odeur fruitée, ni ton regard touchant et magnifique et ni ton sourire ravageur qui vont me faire baisser les bras et vont me déstabiliser, je peux te le promettre. » Pendant son discours, je suis restée sans voix, j’essayais de retenir mon souffle pour ne pas sentir sa douce odeur me parcourir les narines. Avec vivacité, il lâche son emprise pour partir d’un pas rapide, comme si de rien n’était. Je ne m’étais jamais trouvée aussi proche de lui. Pendant ces quelques secondes, mon regard est resté plongé dans ses beaux yeux bleus. Mais qu’est-ce qu’il lui a prit ? Il est vrai, cependant, qu’entre lui et moi, rien n’a été rose et ce, depuis le début. Je ne suis dans cette agence que depuis deux ans et lui, depuis trois ans. Il a toujours été le préféré de notre bosse, mais j’ai entendu dire que maintenant, c’était moi. Je n’ai jamais connu un homme aussi sûr de lui, aussi déterminé et aussi égoïste que lui. Mais, au fond, il a cette chose qui me rend dingue, qui me donne envie de le toucher, de le sentir, à chaque instant de ma vie. Je ne peux me permettre une telle chose. Il ne me convient pas, il ne me conviendrait pas. Lentement, je me sers un verre d’eau, totalement perdue d’en mes pensées. Pourquoi toute cette flopée soudaine de compliment ? Pourquoi cette description de moi ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je suis perdue, totalement déboussolée, totalement désorientée.